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Nécrophonie
Quel est le lien entre le cadavre d’une infirmière jeté au bas de l’escalier des Urgences, des membres humains tranchés et des corps décapités, entassés dans un ancien laboratoire désaffecté ? De la morgue d’un CHU au guichet d’accueil des patients, les lieutenants Silaine et Legarde vont inverser les rouages de la mécanique hospitalière, remontant la piste d’un assassin dont ils ne comprennent pas le mobile.
Nous ne pouvons pas prendre la place d'un mort. Est-ce cela qui a poussé de grands inventeurs comme Edison à vouloir communiquer avec eux ? Nous ne masquons pas les morts pour nous soustraire à leur pourrissement, mais pour nous reconstruire et en édifier une nouvelle image. Les fraîches paroles d'un défunt pourraient être la matière première de cette charpente. La nécrophonie sera l'antidote aux affres du deuil.
Thierry Dufrenne travaille dans la Santé depuis trente-sept ans. Passionné de médecine légale, l'univers hospitalier lui a déjà inspiré cinq romans.
Il brosse ici une enquête policière dans un CHU, avec un oeil espiègle et des décors peu communs, sous le regard inquisiteur des caméras de surveillance.
Dans l'ordre d'apparition : le décor dans l'entresol de l'ancienne bibliothèque, le grenier, Thomas. A. Edison et le dessin du nécrophone, les éléments de la couverture.
L'escalier vers l'entresol | L'entresol de la vieille bibliothèque |
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La cuisine et ses congélateurs | Décor dans l'entresol |
Une chambre dans les anciens appartements de fonction | Les murs délabrés |
La salle de bain | La salle de bain |
L'escalier vers les combles | Le grenier et l'antre de l'assassin |
Le grenier où l'assassin fait ses expériences | Thomas. A. Edison jeune |
Edison dans son laboratoire | Edison et son phonographe |
Le plan du nécrophone | Bibliographie |
Un élément de la couverture | Un élément de la couverture |
Le squelette et la reproduction du gramophone sont à l'échelle 1/2 | Le fon de la couverture |
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